Ma troisième et dernière lecture sur ma lancée pour m’améliorer avec l’informatique nuagique et la gestion des tâches dans notre grappe nuagique: Introduction to Scheduling. Ouf. On y va tout de suite avec le titre qu’aurait dû avoir se livre: « A deep exploration of scheduling mathematics ».
Le télétravail. Un sujet apparemment anodin qui peut vite se transformer en discussion animée. C’est suite à une conversation entre collègues que je m’y suis intéressé. J’étais plutôt contre et ai décidé de m’ouvrir en lisant Remote, un livre qui en fait l’hommage.
Deuxième lecture d’une série de trois visant à m’améliorer en tant que programmeur d’informatique nuagique développant essentiellement au tour d’applications distribuées. (La première lecture était Cloud Application Architectures.) À quoi m’attendais-je avec ce livre? Apprendre comment gérer (ou « manager » comme le « plug » le titre) une grille informatique. Qu’est-ce que j’ai appris? Pas mal l’histoire de l’informatique en grille pré 2006, année de publication du livre.
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De prime abord, je dois dire que la lecture de ce livre ne m’a pas particulièrement plu. Peut-être injustement? Si je l’ai acheté, c’est parce que le mot «architectures» dans le titre m’a séduit. C’est ce que je recherchais. Je m’attendais à un livre un peu plus près des patrons de conception de différentes architectures qu’un guide d’accompagnement linéaire. À sa défense, après deux ans de travail avec le nuage, je connais déjà une bonne partie du contenu du contenu de cet ouvrage et c’est pourquoi il peut m’avoir un peu blasé.
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Le nom de ce livre ne pourrait être mieux choisi. On traite à 99% de python (il y a un peu de C) et l’approche utilisée est effectivement celle d’un livre de recettes. Chaque section se découpe en trois parties: un problème, une solution et des notes à propos de la solution.
Il n’est pas rare de voir des programmes d’installation qui tentent de vous passer des composantes indésirables sous le nez. La stratégie la plus commune est d’insérer l’option dans l’un des panneaux de l’installateur. Naturellement, elle est presque toujours sélectionnée par défaut. Il suffit donc de la décocher.
Ce matin j’ai fait la mise à jour de DivX. Ils ont trouvé une nouvelle tactique qui a bien failli fonctionner. Plutôt que d’afficher l’option avec une boite à cocher, j’avais une page entière décrivant la composante avec les options «précédent», «refuser», «suivant». Cliquer sur «suivant» aurait installé la dite composante. La bonne option à sélectionner était donc «refuser».
La majorité des utilisateurs lisent les pages de l’installateur en diagonale, à la recherche de certains patterns. (Par exemple: les fameuses options à décocher). Par contre, c’est la première fois que je vois une option qu’il faut carrément «refuser». Normalement, l’option «refuser» est associée à la licence que nous acceptons tous sans la lire alors je suppose que la majorité des utilisateurs doivent cliquer sur «suivant» sans tenir compte du texte affiché.
Faites-attention!
Suite au lancement de ma récente extension chrome, j’ai découvert que l’outil de recherche du Chrome Web Store ne fonctionne pas nécessairement tel que l’on peut s’y attendre. Peu importe ce qu’on inscrit dans la case de recherche, on s’attendrait d’avoir les résultats pertinents. Allons-y d’une recherche toute simple sur le mot clé «github».
Deux résultats sans aucun rapport avec github. Ça m’a beaucoup étonné. Si on recherche directement sur google.ca pour «github chrome extension» on en trouve plusieurs très facilement. Quel est donc le problème?
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Ça commence tout bêtement. Vous concevez une application qui est lancée toute les heures. Lorsqu’elle termine, un sommaire de l’exécution est envoyé par courriel à une liste d’individus pour résumer ce qui s’est passé. Sans même vous en rendre compte, vous venez de commettre une erreur.
Je viens tout juste de m’acheter une superbe déchiqueteuse à papier pour, comme vous pouvez le deviner, détruire tous ces papiers recelant mes précieuses informations confidentielles. Comme ma déchiqueteuse va à une vitesse fulgurante de 6.87 pieds par minute, soit 2.09 mètres, j’ai eu plein de temps pour philosopher sur la vie. La question suivante m’est venue: les résidus déchiquetés sont si petits, si je les mets simplement dans le bac, va-t-on vraiment les recycler?
Souvent, nous sommes confrontés à des architectures comportant un environnement de production et un ou plusieurs environnements de tests tentant tant bien que mal de reproduire l’environnement de production. Les mises en productions dans de tels environnements sont souvent synonymes de stress. Il est si facile d’oublier de mettre à jour une des composantes ou encore d’omettre un changement de configuration. Ce sont là deux problèmes faciles à corriger. Le pire survient lorsqu’une fois les composantes déployées on réalise que la nouvelle version ne fonctionne pas bien. Évidemment, ces test qui tentent de reproduire la réalité ne sont pas fidèles et peuvent être blâmés, mais le mal est fait.
Quels sont les problèmes de cette approche?